Lorsque la maladresse percute le dédain, seuls les regrets d’avoir investi l’autre demeurent.
Il n’y a rien de plus triste que l’absence de légèreté si ce n’est la peur de vivre.
J’ai l’audace de la bêtise inflammable mais puisque tout s’enflamme bêtement, des poumons des vieux à la belle Jérusalem, alors je prends ma part du jeu.
Je vois des étincelles partout et ma faute et de les arroser des sens.
Tu n’arriveras pas à me faire oublier tes paillettes brillantes ni à regretter de les avoir trop profondément désirées.
Pour les fous de prise, rien n’est pire que le vide. Ils s’imaginent et étirent le diable en eux. Ils pensent à mal et tordent la réalité à la défaveur de l’autre.
Qui, prostrée, transforme savoureusement ses angoisses en un miroir de glace, jusqu’à en perdre sa sève.