Pensées tristes, parfois excitantes
Tout commence alors. Coin de rue. C’est l’odeur de la crêpe. Une échoppe. Une dizaine de personnes s’agitent doucement. A contre courant d’une foule qui circule, bruyamment. La foule ne sent rien, elle passe seulement, sans considération ni intérêt –...
A mon retour, je n’avais pas appelé Avio immédiatement. Bien sur, je me demandais comment allait Marion et mes plus profondes prières –même si je n’étais pas très croyant- étaient pour elles. Peut être n’osais je pas le faire ? La possible tristesse de...